Hanoucca marque une importante victoire militaire des Maccabées et symbolise la résistance spirituelle du judaïsme à l'assimilation grecque. 
Les pratiques et coutumes qui s'y rattachent sont liées au miracle de la fiole d'huile, en particulier l'allumage du chandelier à neuf branches de Hanoucca pendant les huit jours de la fête et la consommation de friandises à base d'huile d'olive. On y joue aussi avec des toupies à quatre faces. 
 

L'origine de cet engouement semble remonter aux années 1980, quand ce type de pull est porté par Bill Cosby dans le Cosby Show. Parallèlement, au Royaume-Uni, il est popularisé par le romancier Gyles Brandreth ou le chanteur Andy Williams.
Après une éclipse au cours des années 1990, le « pull de Noël » revient en force à partir de 2001, lorsque Colin Firth, dans le film Le Journal de Bridget Jones, arbore un col roulé verdâtre orné d'un renne. Depuis les années 2010, des soirées à thème « pull moche » remportent un vif succès aux États-Unis, en particulier à New York. Dans les milieux juifs américains, ce vêtement est connu sous le nom de Hanukkah sweater, la fête de Hanoucca se situant à la même époque de l'année.
Le Monde perçoit dans cette mode une « tradition détournée », celle des pulls que les grand-mères tricotaient autrefois pour leurs petits-enfants et qu'elles leur offraient au moment du réveillon.
 

Noël est fêté dans la nuit du 24 au 25 décembre et le 25 toute la journée. En tant que fête chrétienne, elle commémore chaque année la naissance de Jésus de Nazareth. À l'origine, il existait à cette date des festivités païennes marquant le solstice d'hiver, symbole de la renaissance du soleil. L'Église apostolique arménienne a gardé la tradition plus antique de célébrer au 6 janvier les deux fêtes de la Nativité et de l'Épiphanie. 
Au XXIe siècle, la période entourant Noël revêt un aspect commercial largement non religieux et dans certains pays, le jour de Noël est férié. Dans cet esprit, Noël devient une fête à connotation folklorique, caractérisée par un regroupement des cellules familiales autour d'un repas et d'un échange de cadeaux autour du sapin traditionnel.
 

Cette superbe crèche est constituée de matériaux naturels (pierres sèches et végétaux du Luberon), d’édifices fabriqués "maison" avec le plus grand soin par Vincent lui-même (chapelle, oratoire, moulin, four à pain, poulailler, mas provençal…), découvrez la vie de village d’antan et ses habitants - plus de 500 santons 
Il lui a fallu six semaines « avec des journées à plus de dix heures de travail », pour parvenir au résultat souhaité et construire une crèche de plus de 15 mètres de long. « J’essaye de représenter la vie traditionnelle qu’il y avait à la fin du XIXe siècle. C’est vrai que j’ai séparé la nativité du décor folklore », explique Vincent Gils. « C’est une crèche ouverte.
La perspective est respectée, rien n'est placé au hasard et Vincent a le souci du détail.
 

Les santons de la crèche de l’église ont été achetés au fil des années grâce à la générosité des visiteurs.
Les 23 santons anciens sont soit en cire pour la Sainte Famille ou en carton-pâte pour les autres et datent probablement de la 1re moitié du 19e siècle. Les 17 grands santons, les plus récents, ont été confectionnés par les Carmélites d’Avignon et sont en cire. Leurs tailles varient de 40 à 70 cm. L’ensemble est complété par une quarantaine de santons plus récents de 15 à 30 cm.
Au total, vous pouvez compter plus de 185 sujets dont 81 personnages et plus d’une centaine d’animaux. Parmi ces santons, 40 sont animés.
6 pompes assurent la circulation de l’eau à la rivière et aux fontaines et 42 moteurs contribuent au mouvement des sujets, ceux-ci fonctionnent en 12 ou 220 volts.
Un jeu de lumière géré par un automate, crée le jour et la nuit. Une lumière noire donne un effet particulier à tout l’ensemble.
La confection de cette crèche d’une superficie de 52m2, demande chaque année presque 200 heures de travail sans compter la création des nouveautés. 15 caisses de mousse sont nécessaires.